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histoire

l’histoire a commencé en 1997. Le  curcus arts du spectacle / option cinéma à l’université de Jussieu Paris VI à cette époque,  est  le vivier qui regroupera les jeunes cinéastes que nous sommes et d’autres étudiants en anthropologie, ethnologie, musicologie. Autant d’influences qui vont nourrir et alimenter le projet global. Sylvain Grolleau, réalisateur, artiste visionnaire, fédère ce groupe naissant d’artistes et de techniciens du spectacle et de l’audiovisuel, au sein d’une association intitulée la caravaneLa première pierre de cette aventure, elle-même fédératrice et énergivore est posée. Les réflexions communes et la génèse de ce projet tentaculaire se développent.

La notion d’itinérance est emblématique dans la définition du projet. L’idée de l’objet roulant pour nous accompagner dans nos recherches est limpide.

En 2001, une partie des membres de la caravane créent la structure de production le caravansérail. En effet, un fort désir de monter des projets en commun, et de pouvoir les produire et les diffuser sur la route et de manière autonome entraine ce groupe. L’aventure démarre à Marseille, au sein de la pépinière d’entreprise gérée par Marseille Innovation à la Friche La Belle de Mai. « Mettre en commun le matériel pour créer ensemble » défini notre action. En 2003 Le Bus intègre le caravansérail.

Le premier projet artistique commun qui regroupe plus de 35 personnes voit le jour au cours de la période 2002-2003. Il s’intitule Alternative Nomade.

Depuis divers projets on été créés, et ont emmené le Bus sur les routes. Aujourd’hui le caravansérail continue à produire et créer des projets artistiques, avec la volonté de collaborer avec d’autres structures, tout en apportant notre expertise fondée sur ces dix années passées à voyager  avec notre Bus, à rencontrer le public. Entouré de nombreux artistes, herve herrero s’attache à développer et coordonner ces différents projets.

Le questionnement sur notre environnement, la condition de l’Homme dans la Cité, l’architecture qu’il y développe, l’agencement et l’organisation de son quotidien, le regard sur la ville en général continuent d’animer nos réflexions et notre recherche. Les flux de migration sont complexes, et interagissent avec le développement de nos sociétés et la construction de nos espaces de vies personnels et publics. La densité des mégapoles occasionne la réorganisation incessante des moyens de transport. En somme, questionner notre existence est notre occupation première. Suggérer un regard est notre travail.

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